Rue Caraïbes – Jean- Pierre Favreau – Texte d’Abilio Estévez – Editions En Vues –

15,00

Comme neuf

Livraison possible via le réseau Mondial Relay

Expédition à tarif forfaitaire pour la France : 3,99 €

1 en stock

Catégorie :

Description

Dans la mythique Havane peuplée de fantômes, enivrée de sons et de sensualité, Jean-Pierre Favreau fait preuve, à travers ses images, d’une rare sobriété qui évacue du regard tous les poncifs et les clichés à la mode pour ne conserver que l’essence même des choses à travers la puissance de la lumière, des cadrages et du noir et blanc.

La rue devient ainsi métaphore, décor stylisé de toutes les cités caraïbes, cicatrice intérieure, réflexion de l’âme où l’homme et son ombre balancent leur solitude avant de s’accrocher pleins d’espoir aux baskets d’une inconnue.

Abilio Estévez, l’écrivain cubain dont l’oeuvre apparaît peu à peu des plus importantes, nous livre un récit autobiographique d’une touchante beauté sur l’évocation de l’enfance, les souvenirs mêlés de peurs et de bonheur, son amour permanent pour la Havane.

Les photos de l’un et le texte de l’autre inventent ici une partition cinématographique, un film noir poétique, un travelling à deux voix pour une longue complainte amoureuse dans les faubourg de l’humanité.

Note de l’auteur :

Afin de dissiper un possible malentendu sur mes sentiments à l’égard de Cuba, je voudrais dire au lecteur qui feuillettera ce livre que, dans les rues de La Havane, j’ai poursuivi mon travail sur l’homme et la ville elle-même.

J’ai aimé La Havane et le peuple qu’elle abrite, j’ai aimé déambuler, le jour, la nuit, sans peur d’être agressé, ce qui est rare en Amérique Latine, je m’y sentais bien, mais en aucun cas n’ai tenté de le raconter.

Para que no haya algún malentendido sobre mis sentimientos con Cuba, quisiere decir al lector que va a leer estas paginas que, en las calles de La Habana, iba cumpliendo mi trabajo sobre el hombre y la ciudad. Si una forma de tristeza tinta a estas imágenes sera mas causada por mi mirada que por la ciudad.

Quiero a La Habana Y al pueblo que allí vive, me gusto pasear de dia, de noche, sin miedo de la agresión, lo que es raro en America Latina, me sentía bien, pero en nigun caso he tentado contarla. 

Jean-Pierre Favreau

Informations complémentaires

Poids 654 g

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Rue Caraïbes – Jean- Pierre Favreau – Texte d’Abilio Estévez – Editions En Vues –”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *