EN STOCK CHEZ BETTYBOOK : 10 €
Epouse comblée, mère de quatre enfants aimants, institutrice consciencieuse, Marie s’épanouit dans sa vie à Aubazine, le village où elle a grandi. Sa réussite tant privée que professionnelle est incontestable. Pourtant, elle n’a pas oublié son enfance difficile, ses jeunes années à l’orphelinat et tous ceux qui lui ont fait du mal…
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Durant l’été 1959, en Corrèze, drames , joies, révélations vont bouleverser les villageois de Rilhac, et particulièrement le jeune Cyril, qui apprend la dure réalité de grandir…
EN STOCK CHEZ BETTYBOOK : 10 €
En Auvergne, à Thiers, tout au long du XXè siècle, les souvenirs de la famille d’Henri, fils d’un père Kabyle et d’une mère auvergnate.
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Femme énigmatique, celle qu’on appelle la Ramandeuse revient chaque année dans le bourg pour réparer les filets. Elle traîne aussi une drôle de réputation. On dit qu’elle parle aux poissons, qu’elle réconcilie les couples grâce à des potions, qu’elle maîtrise toutes les astuces pour gagner à la belote...
EN STOCK CHEZ BETTYBOOK 10 €
Louis Dominique Garthauszien, dit Cartouche, a été le plus célèbre et le plus redoutable brigand de son temps, celui de la Régence. Au-delà de l’histoire, Michel Peyramaure s’est attaché à sonder l’âme de ce personnage hors du commun : exécrable bandit ou brigand d’honneur ? « Il avait, avoua un magistrat, de la politesse et des sentiments… »
EN STOCK CHEZ BETTYBOOK : 8,50 €
Où se trouve le fabuleux trésor que le légendaire Eudes d’Aquitaine a caché sur l’île de Ré ? Alpaïde de Montamer, grâce aux indications laissées par son père, est bien décidée à le trouver. Aidée dans sa quête par le beau forgeron Amaury, la jeune fille s’aperçoit vite qu’elle n’est pas la seule à convoiter les richesses de son illustre ancêtre.
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Au XIXe siècle, sur les rives du Cher, le monde étonnant des carriers, les travailleurs de la pierre.
Le talent de romancier de Bernard Simonay sert à merveille ce roman à intrigues et secrets de famille.
EN STOCK CHEZ BETTYBOOK : 8,50 €
Louise a seize ans, l’âge des premières amours. Sa famille a fui l’Alsace après la défaite de 1870, pour « rester français à tout prix ». Catherine et Henri, ses parents ainsi que le pittoresque Pépère Joseph, tiennent un café-charcuterie où les habitués content leurs déboires et accumulent les ardoises. Louise est ouvrière aux « Allumettes ». Un dimanche sur les fortifs, la jeune fille rencontre un beau voyou parfumé à la violette dans une guinguette mal famée…
Eugène Le Roy est né le 29 novembre 1836 à Hautefort, au coeur du Périgord. Ses parents étaient tous deux au service du baron de Damas. Après des études succinctes à Périgueux, il devient commis à Paris en 1851 puis soldat en Algérie de 1854 à 1860. Rentré en Périgord, il est nommé percepteur en 1863 à Tocane-Saint-Apre puis à Montignac en 1873. Après le moulin du Frau (1891), il publie Jacquou en 1899 dans la Revue de Paris sous le titre La forêt Barade puis, sous son titre définitif, chez Calmann-Lévy en 1900. Eugène Le Roy s’éteint à Montignac Le 6 mai 1907.
JACQUOU LE CROQUANT
"LE PLUS LOIN DONT IL ME SOUVIENNE, c'est vers 1815, l'année que les étrangers vinrent à Paris, et où Napoléon, appelé par les messieurs du château de l'Herm "l'ogre de Corse", fut envoyé à Sainte-Hélène, par-delà les mers. En ce temps là, les miens étaient métayers à Combenègre, mauvais domaine du marquis de Nansac, sur la lisière de la Forêt Barade, dans le haut Périgord. C'était le soir de Noël : assis sur un petit banc dans le coin de l'âtre, j'attendais l'heure de partir pour aller à la messe de minuit dans La Chapelle du château, et il me tardait fort qu'il fût temps".
Ainsi débute Jacquou le Croquant, un des romans les plus émouvants de notre littérature. Eugène Le Roy y décrit, au soir de sa vie, la résistance et la révolte pendant la Restauration d’un jeune périgourdin face aux injustices et à la violence du marquis de Nansac et de ses gens.
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Eugène Le Roy est né le 29 novembre 1836 à Hautefort, au coeur du Périgord. Ses parents étaient tous deux au service du baron de Damas. Après des études succinctes à Périgueux, il devient commis à Paris en 1851 puis soldat en Algérie de 1854 à 1860. Rentré en Périgord, il est nommé percepteur en 1863 à Tocane-Saint-Apre puis à Montignac en 1873. Après le moulin du Frau (1891), il publie Jacquou en 1899 dans la Revue de Paris sous le titre La forêt Barade puis, sous son titre définitif, chez Calmann-Lévy en 1900. Eugène Le Roy s’éteint à Montignac Le 6 mai 1907.
JACQUOU LE CROQUANT
"LE PLUS LOIN DONT IL ME SOUVIENNE, c'est vers 1815, l'année que les étrangers vinrent à Paris, et où Napoléon, appelé par les messieurs du château de l'Herm "l'ogre de Corse", fut envoyé à Sainte-Hélène, par-delà les mers. En ce temps là, les miens étaient métayers à Combenègre, mauvais domaine du marquis de Nansac, sur la lisière de la Forêt Barade, dans le haut Périgord. C'était le soir de Noël : assis sur un petit banc dans le coin de l'âtre, j'attendais l'heure de partir pour aller à la messe de minuit dans La Chapelle du château, et il me tardait fort qu'il fût temps".
Ainsi débute Jacquou le Croquant, un des romans les plus émouvants de notre littérature. Eugène Le Roy y décrit, au soir de sa vie, la résistance et la révolte pendant la Restauration d’un jeune périgourdin face aux injustices et à la violence du marquis de Nansac et de ses gens.
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ROGER BOUSSINOT
VIE ET MORT DE JEAN CHALOSSE MOUTONNIER DES LANDES
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Au début des années 30, les externes libres qui se rendaient au lycée Michel-Montaigne de Bordeaux en longeant la Faculté de médecine, ne prêtaient guère attention au vieil homme barbu, enveloppé dans une peau de mouton, qui dormait sur les marches d’une porte condamnée, à l’abri d’une étroite verrière. A force de le voir, hiver après été, ils ne le voyaient plus. Aucun d’eux n’aurait pu dire qui il était, d’où il venait, ni même ce qu’il devint le jour où il disparut. Roger Boussinot pas plus que ces camarades.
Cependant, l’image de ce vieillard insolite échoué sur le trottoir de la grande ville n’a cessé de hanter Boussinot. Quarante ans plus tard, aujourd’hui, il tente de répondre aux questions qu’il ne s’était pas posées, enfant. Il a donné un nom à l’inconnu : Jean, dit Chalosse ; il a imaginé sa vie : celle de ces « moutonniers » qui, jadis, juchés sur des échasses, poussaient les troupeaux, de la Gironde aux Pyrénées, à travers des Landes encore inviolées ; il en a déduit les évènements qui conduisirent sur les marches de la Faculté de médecine de Bordeaux le dernier représentant d’une civilisation assassinée.
Et cela fait cette histoire, ce roman. Une histoire d’une vérité plus forte que la réalité même, et qui nous réveille : l’histoire d’un homme que les temps mécaniques ont effacé de la surface de la terre.
MALAGAR
» Même après ma mort, tant qu’il restera sur la terre un ami de mes livres, Malagar palpitera d’une sourde vie ».
Extrait du journal intime que François Mauriac a tenu de 1939 à son dernier séjour à Malagar, en septembre 1968
PRIX GENS DE GASCOGNE ET DE GUYENNE
GALLIMARD
Lucienne Sinzelle avait à peine deux ans quand, avec ses parents et son frère Lulu, elle est arrivée à Malagar, propriété girondine de François Mauriac, au mois d’avril 1929. Ses parents avaient été embauchés par le régisseur de la propriété comme domestiques. Ce sont les souvenirs d’enfance que Lucienne raconte ici.