Description
Résumé :
Depuis sa rue de Comanche Street, à Long Island, Katie fait partie de cette jeunesse qui regarde de loin le rêve américain. Alors qu’en 1972 commence son dix-huitième été, que les soirées rallongent, que les rues et la plage s’animent, elle a le sentiment que sa vie reste en suspens. Ses pensées sont ailleurs, tournées vers sa mère qui l’a abandonnée, et vers Luke qu’elle aime secrètement et qui revient, transformé, de deux ans au Viêtnam. Sous la chaleur écrasante et moite, le temps semble suspendu et propice à la réflexion sur la route à prendre, sur ceux qui nous entourent et que l’on va quitter. Avec toute sa fragilité et sa fantaisie, Katie porte à bout de bras ce roman poétique et émouvant qui évoque ces vieux polaroïds aux couleurs défraîchies que l’on regarde avec nostalgie et tendresse. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Sarah Tardy
Biographie:
Judy Chicurel écrit pour de nombreuses revues dont Granta et collabore souvent avec The New York Times et Newsday. Dramaturge, elle est très impliquée dans la scène théâtrale new-yorkaise. Si j’avais su que tu deviendrais si belle, je ne t’aurais jamais laissée partir est son premier roman. Elle vit à Brooklyn.
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