Description
Ma mère n’a jamais le temps. Alors, pour la calmer, je lui dis : «À force de t’agiter comme ça, tu n’as même pas entendu la poésie que j’ai inventée pour toi. Viens jouer au cerf-volant, viens cueillir des fleurs des champs. Viens compter les nuages blancs, viens, on va écouter le vent, et construire un barrage géant pour arrêter le torrent. Aujourd’hui tu as le temps, car…»
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