Description
Journal d’une année tranquille – ou presque – dans la vie d’un homme trop lucide pour être heureux et trop épicurien pour être malheureux. » Je ne compte que les heures claires « , est-il souvent gravé sur les cadrans solaires. C’est vrai pour eux, pas pour nous. Ils comptent peut-être, mais ne savent pas conter. L’oiseau de Minerve, comme chacun sait, ne prend son vol qu’à la tombée de la nuit. Ici, le journal littéraire est un genre à part entière et c’est ce que nous restitue Jean-Bernard Liger-Belair, philosophe et romancier, avec l’âpreté et l’ironie qu’on lui connaît.
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