Description
Quatrième de couverture :
Boris Vian est mort sans que la critique, ni les lecteurs de son temps, aient compris qu’il avait écrit les romans les plus bouleversants, les plus cruels, les plus poétiques de l’après-guerre. Et parmi eux » L’automne à Pékin », où, dans la fantaisie burlesque et tragique du désert d’Exopotamie, la machine absurde et les amours déchirantes se détruisent. Aujourd’hui qu’on lit Boris Vian, on sait quel grand écrivain, tendre et désespéré, il est resté pour nous.
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