Description
À trente ans passés, Ignatus vit encore cloîtré chez sa mère, à La Nouvelle-Orléans. Harassée par ses frasques, celle-ci le somme de trouver du travail. C’est sans compter avec sa silhouette éléphantesque et son arrogance bizarre… Chef-d’œuvre de la littérature américaine, La Conjuration des imbéciles offre le génial portrait d’un Don Quichotte yankee inclassable, et culte.
» On ne peut pas lire ce livre, l’un des plus drôles de l’histoire littéraire américaine, sans pleurer intérieurement tous ceux que Toole n’a pas écrits. »
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles
Traduit de l’anglais (Etats-Unis)
par Jean-Pierre Carasso
Préface de Walker Percy
Quatrième de couverture
« Écrit au début des années soixante par un jeune inconnu qui devait se suicider en 1969, à l’âge de trente-deux ans, parce qu’il se croyait un écrivain raté, La Conjuration des imbéciles n’a été éditée qu’en 1980. Le plus drôle dans cette histoire, pour peu qu’on goûte l’humour noir, c’est qu’aussitôt publié, le roman a connu un immense succès outre-Atlantique et s’est vu couronné en 1981 par le prestigieux prix Pulitzer. Une façon pour les Américains de démentir à retardement le pied de nez posthume que leur adressait l’écrivain, plaçant en exergue à son livre cette citation de Swift: « Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. » » – Bernard Le Saux, Le Matin
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