Description
Au sein d’une grande famille bourgeoise du Sud-Ouest, Victorine, la bonne, passe de mains en mains et de lit en lit. Madame, le mari de Madame, la soeur de Madame, le frère de Madame (un singulier médecin), la fille de Madame, le fiancé de la fille de Madame, les amies de Madame et de la fille de Madame, sans oublier Gustave, le secrétaire de Monsieur et l’amant de Madame, ni Léon, le vigile, tous ces gens-là, et j’en oublie, vont faire de la lubrique petite bonne leur » poupée sexuelle » (comme on dit dans les livres de gare).
Seulement, ce n’est pas si simple… Et si tous ces » maîtres » n’étaient finalement que les » esclaves » de leur » esclave » ? Et Victorine, la drogue dont ils ne peuvent plus se passer ? » Je suis la première à reconnaître que je suis tordue « , déclare l’héroïne du nouveau » roman pornographique » d’Esparbec. Mais vous en connaissez beaucoup, vous, des gens qui ne sont pas tordus, sexuellement parlant ? Le sexe, c’est seulement quand c’est tordu que ça donne de vraies satisfactions, vu qu’il n’y a rien de plus emmerdant, quand ça ne l’est pas. »
Voici le grand roman porno du nouveau siècle. (…) Juste géant. » Jalouse (A propos de La Foire aux Cochons). » Le bruit gagne tout Paris : As-tu lu Esparbec ? » Delfeil de Ton, Le Nouvel Observateur. » Je suis stupéfait par son audace. C’est la première fois qu’un auteur écrit de la pornographie si sérieusement, si scandaleusement. Il décrit la sexualité avec une précision chirurgicale ! Georges Wolinski, Le Point
Note de l’auteur
Dans ce livre, j’ai voulu faire un mélange qui, à ma connaissance, n’a jamais été tenté. Le gros mélo sentimental (la saga provinciale) et le cul bas de gamme des romans de gare ; une sorte de porc sucré vinaigrette, en somme. Pourquoi pas, après tout ? Le cul, c’est comme le cochon, on peut l’accommoder de mille façons, ça reste toujours du cul.
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