Description
Quatrième de couverture :
Une poésie sans apparat, sans grandes orgues. Une poésie qui ne vous offre pas un soporifique en vous jurant que votre sommeil sera plein de beaux rêves. Une poésie où tout est permis, même de rêver bien éveillé, même de rire. Une poésie à vous tourner la tête… du bon côté, vers le large, vers les îles de l’été, des vacances perpétuelles, où il y a de jolies filles qu’on peut aimer ou déchirer et quelques personnages en baudruche transportés là à seule fin de taper dessus, et aussi des baraques foraines avec des monstres qu’on rencontre tous les jours sans les voir, et aussi les grands fonds où l’on se laisse glisser pour ne plus revenir, les yeux bien ouverts, en regardant une dernière fois les belles choses du monde. Cantilènes en gelée et Barnum’s Digest, reproduits ici avec Je voudrais pas crever, sont deux recueils de poèmes publiés du vivant de Boris Vian et depuis longtemps introuvables. Vingt poèmes inédits s’y ajoutent. La seconde partie du volume réunit pour la première fois les Lettres de Boris Vian au Collège de Pataphysique, textes célèbres mais dispersés dans des numéros de revue pour la plupart épuisés. L’ouvrage se termine avec deux textes importants sur la littérature ( dans lesquels il est fortement question Dre l’électronique et de la Régie Renault).
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