Description
Résumé :
Traduit pour la première fois dans sa version intégrale, Finnegans Wake, ¿uvre rebelle, s’exprime par épiphanies, telles que définies dans Ulysse – c’est-à-dire des instants où les mots comme des photos reconstituent la figure d’interférence, visible seulement dans sa frange brillante. Pour certains, la révolution est à peine suffisante. Ils partent, hantent les asiles dont ils font une bibliothèque, habitent les prisons où flotte le feu de leurs rêves, créent un pseudo-langage qui n’est plus entendu mais reconnu de leurs seuls semblables. Errants jusqu’à l’inconsistance, telle la révolutionnaire russe Alexandra Kollontaï : » … Comme j’aimais Kuusa en septembre… l’odeur des pins et, comme des toiles d’araignées tendues entre eux, les nuages chargés de rosée du matin.
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